Lors des célébrations du 20e anniversaire du Cercle du doyen, l’occasion a été saisie d’annoncer ce renouveau. En prévision de l’événement, le Cercle a réalisé des travaux de planification stratégique et notamment réfléchi à sa gouvernance et son image de marque pour trouver des manières de mieux communiquer sa mission et susciter une plus grande adhésion. L’idée est venue de trouver un nom qui allait décrire clairement le rôle que jouent ses membres. Lorsque l’on se joint à ce groupe et que l’on redonne à la Faculté, c’est ce que nous devenons : un allié. Ce titre permettra dorénavant d’identifier ces diplômées et diplômés qui s’associent à notre faculté pour sa réussite. Serez-vous, vous aussi, un Allié?
La mission, quant à elle, ne change pas : participer à l’amélioration de la pratique de la pharmacie en soutenant des projets de recherche sur de nouveaux outils pédagogiques, de formation continue et d’organisation du travail autant en milieu communautaire qu’hospitalier. Au cours des prochains jours, tout le matériel entourant le Cercle sera modifié pour refléter ces changements et spécifier les nouvelles catégories de membres. Les nouveaux administrateurs des Alliés seront également annoncés. |
Ces célébrations étaient également l’occasion de souligner les accomplissements et la portée de la mission du Cercle. Plusieurs membres et professeurs de la faculté, dont le président Claude Vezeau, Diane Lamarre, Claude Mailhot et Michel Vinet ont souligné tour à tour le travail exceptionnel de celui qui a été le maitre d’œuvre incontesté derrière la création de ce fonds philanthropique ; Claude Lafontaine. La mission du Cercle, c’est surtout la sienne. Sa fille, Diane Lafontaine, est venue livrer un vibrant témoignage sur les qualités humaines de ce grand pharmacien.
Comme l’a souligné le doyen Simon de Denus, « il avait à cœur de promouvoir la meilleure éthique de travail pour cette profession qu’il adorait tant. Il comprenait la nécessité d’un enseignement du plus haut niveau possible. Et il sentait le besoin de rapprocher les diplômés de leur faculté, de susciter leur sentiment d’appartenance en les invitant à redonner après avoir tant reçu.
C’est l’essence de la philanthropie. Reconnaître notre chance, se préoccuper du sort des autres à un point tel qu’on agit et qu’on choisit de donner plutôt que garder pour soi. »
Ce visionnaire avait 20 ans d’avance dans sa pratique sur le plan pharmaceutique. Et il a eu 20 ans d’avance sur le plan philanthropique. Les Alliés peuvent aujourd’hui le remercier de sa vision.
Photo du centre, Diane Lafontaine, fille de Claude Lafontaine.