L'article complet est disponible ici.
Dans plusieurs cancers, l’activation d’A2A par l’adénosine permet aux cellules tumorale d’échapper à une élimination par les cellules immunitaire. À cet égard, l'inhibition du récepteur A2A est actuellement évaluée dans plusieurs essais cliniques pour l'immunothérapie du cancer. L’étude du Professeur Stagg indique que les fonctions anti-inflammatoires et anti-obésogènes du récepteur A2A freinent de manière significative le développement du cancer du foie chez la souris. Cette nouvelle découverte suggère une plus grande prudence dans l’utilisation des inhibiteurs pharmacologiques du récepteur A2A chez les patients souffrant d’obésité ou atteints de la maladie du foie gras non alcoolique. | |