« Pour moi c’est la pratique idéale. On a beaucoup d’avantages de par notre proximité avec les autres professionnels, notre intégration à l’équipe interdisciplinaire, notre accès au patient, au dossier médical, à l’évaluation de nos collègues et notre autonomie. »
La mise en vigueur du projet loi 31 a permis l’adoption en GMF d’ententes de pratique avancée en partenariat, ce qui a grandement accentué l’autonomie de pratique des pharmaciennes et pharmaciens. « Pour n’importe quel patient, je peux initier, cesser, n’importe quelle médication de façon 100% autonome, excluant les substances de législation fédérale, et c’est le cas dans de plus en plus de GMF partout au Québec », ajoute M. Dugré. |